L'appel du mâle [PV Hideaki]

Senjô Gakuen… Cour extérieure… Un petit groupe de cinq garçons dont deux en train de se pousser l'un, l'autre finissant par renverser un sur tous les autres. Rassurez-vous : ils étaient assis et la chute n'était donc pas bien douloureuse. Et non, je vous contredit de suite, l'un d’entre eux n'était pas Hideaki. Pour une fois, le jeune nippon était bien calme préférant faire comme la dernière fois qu'il s’était retrouver sur cette herbe : regarder le ciel. Oh mais peut-être que contrairement à lui, finissant par être tanner de son incompréhension du sujet, vous intéressez-vous à ce qui mettait tant d'animation au sein du groupe ? C'est simple : les démonstrations de force et leurs utilités. Rien que ça, en intitulé, c'en était désespérant pour celui qui possédait encore une chevelure brune.

Messieurs discutaient de comment finalement cette fusion était une bonne chose. Bah tiens ! Oui, argumentant d'ailleurs, prouvant une profonde réflexion sur le sujet que leurs parents aimeraient voir apparaître dans leurs bulletins : ce qui n'est pas le cas, vous vous en doutez. Alors oui, Takeru Mizawa, troisième année connu pour ses pitreries et son tempérament tendant à l'énervement, avançait le fait que non seulement ils pouvaient du coup leur montrer qu'ils sont les meilleurs mais en plus, ils auraient peut-être du coup la chance d'en avoir une sous le bras. Car selon eux ce n'était pas dissocié : « faut les impressionner ». Là, Hideaki n'écoutait même plus. Il avait parfois un mal fou à suivre leurs conversations mais quand ça parlait filles, les braillements nécessitaient pour être comprit un traducteur. Ou soit un sauveur, parce que les plans « venez on va les embêter », il ne souhaitait qu’une chose : ne pas avoir à y participer. D’autant plus qu’il sympathisait plus qu'il ne les embêtait. Alors, oui, il rêvassait attendant que finalement l'un d'entre eux sorte du contexte.

Takeru – « T’en penses quoi Hide-kun ? »
Hideaki – « Eh ? Quoi ? »
Takeru – « Aaah… Vraiment ! Tu n’écoutes jamais !? Enfin, tu pensais à quoi là ? Ca a peut-être un intérêt… »
Hideaki – « Ca vous vexerait ! » lâcha-t-il en riant de façon espiègle « Et si on allait autre part ? J’en ai marre de rester là, à vous écouter débattre… ou battre plutôt… »
Takeru – « Fais pas ton philosophe ! T’es le pire d’entre nous ! Enfin tu sais quoi ? On te suit. »

Sur ce le japonais ne trouva qu’à hausser les épaules, prendre son sac et sa balle pour enfin se lever, faisant tomber lourdement à terre la tête d’un ami qui s’était appuyée de tout son poids sur son épaule. « Le pire d’entre eux » ? Non, pas vraiment. Le plus dynamique et enjoué, même un peu enfantin mais sérieux et mature par rapport à eux. Enfin, poursuivons.

L’endroit où il les menait ? Le parc. Et pour tout vous dire, Hideaki se demandait finalement si c’était une bonne idée. Soit on les regardait parce qu’ils étaient trop bruyants, soit ils dégageaient une aura magnifiquement « tape-à-l'œil » ! Ce fut tout, quand il s’arrêta et lança sa balle dans l’abdomen d’un de ses camarades qui, ne se remettant pas du choc, préféra se la laisser piquer par un autre. Et ça se prétend impressionnant ! Hideaki savait bien que tout ça c’était du blabla pur… Mais il n’y pensait pas, il regardait que la balle que son adversaire envoya violemment à un endroit qui se nomme « nulle part ». Mince ! Sa précieuse (…) balle ! Le pire était sûrement le commentaire qu’il fit avec : « Regarde ce que tu as fait Hideaki ! Aaaaah… ». Bien que dépassé, il ne put retenir un sourire semi-amusé avant d’aller chercher sa balle. Il s’imaginait le pire, comme quoi la balle aurait heurté quelqu’un, ne la trouvant toujours pas. Il alla alors à l’improviste par-ci par-là quand il trouva qu’une personne apparemment occupée. Il s’avança alors hésitant à la déranger ou non.

Hideaki – « Excuse-moi… Tu n’auras pas vu un ballon de basket-… »

A cet instant, il aperçut la balle qui roulait à côté de la japonaise et de suite il se passa la main sur le front : c’est pas vrai, l’idiot l’avait peut-être blessée ou heurtée avec la balle. Il ne réfléchit même pas au fait qu’elle ne semblait même pas s’être aperçue qu’il y avait un ballon et…

Hideaki – « Mince… J’espère qu’elle t’a pas heurtée ? Je suis désolé sinon, vraiment. »

Il était agité soudainement, se sentant concerné et mal à l’aise. Ce crétin… Alors que lui s’inquiétait de ça, les braillement dans son dos avaient reprit : ils jouaient avec un autre ballon… … … Il cru bien avoir une pensée assassine à cet instant. Pourtant il reporta son attention sur la jeune fille et remarqua d’ailleurs qu’il lui semblait l’avoir déjà vu…

Après plus d'un heure à dessiner, la jeune Midori décida qu'elle allait prendre une pause. S'étirant lentement, elle entendit quelques os craquer. L'adolescente avait une espèce de capacité étrange, dès qu'elle passait un moment sans bouger, pratiquement tout ses os ce mettait à craquer si elle s'étirait. Ses amies avaient toujours trouvé ça dégoutant et étrange, mais la miss Fukukawa, quand à elle, adorait pratiquement ce fait puisque ces douleurs la quittait dès que ça avait craqué.

Les enfants jouaient toujours, mais cette fois-ci ils semblaient plutôt construire un château, ou était-ce une tortue ? Enfin bref, leurs projets ne semblaient définitivement pas terminés ou consistant, mais les petits semblaient totalement s'amuser.

*J'pourrais peut-être les rejoindres...*

Après un débat mental sur le bienfait d'aller jouer avec eux ou pas, elle ce leva et s'avança lentement vers eux, un sourire aux lèvres.

"Konichiwa ! Vous me semblez plutôt doués, qu'est-ce que vous construisez au juste ?" Leur demanda-t-elle en s'agenouillant près d'eux.

La petite fille lui pointa le tas plutôt informe et lui fit un grand sourire.

"C'est notre maison !"

Le petit garçon qui semblait un peu plus vieux que la fillette, fit une grimace.

"Je crois pas qu'on a réussit..."

Midori eu un petit rire et alla prendre une branche de bois qui trainait sous un arbre. Les enfants l'avaient regarder faire, les yeux questionneurs et l'adolescente leur fit un clin d'oeil complice. Dessinant par terre quelques types de maison, elle leurs demanda laquelle ressemblait le plus à leur maison et ils lui pointèrent une maison totalement western, à deux étages, un balcon et une cheminée.

"Vous voulez que je vous aides à la construire alors ?" Demanda-t-elle toujours avec le sourire.

Les enfants acceptèrent rapidement et Midori ce sentit emplie de joie. Pouvoir participer à un moment comme ça lui semblait un évènement très rare et elle voulait ce le rappeler au maximum. Après un moment les petits semblèrent avoir remarquer que l'adolescente était plutôt douée, du coup, ils ne faisaient que lui dire quoi mettre où et elle construisait la maison de sable. La maison fini, Midori ce dirigea à nouveau vers l'endroit où elle dessinait quelques temps avant et resta assisse un moment à regarder les alentours. Des rires de garçon croyait-elle commençait à ce faire entendre et elle ce les imagina un moment à faire les mêmes jeux que les enfants qu'elle venait de rencontrer. Pouffant de rire, elle tourna la tête vers la direction des rires, s'attendant à les voir apparaitres d'un moment à l'autre, mais c'est un ballon de basket qui arriva a toute vitesse. L'attrapant, Midori eue à nouveau envie de faire une partie de basket, mais en entendant des bruits de pas, elle repoussa le ballon et reprit son calepin à dessin. Plutôt raide, elle ne faisait que repasser sur des lignes qu'elle avait déjà fait, préfèrent donner l'impression qu'elle était totalement absorber par son travail.

« Excuse-moi… Tu n’auras pas vu un ballon de basket-… » Demanda alors la voix d'un garçon.

L'adolescente resta silencieuse, espérant qu'il ne l'ait pas vu avec le ballon en main. Si son père venait à apprendre ça, il serait tellement désappointé... Le jeune homme inconnu reprit la parole et cette fois-ci elle lui accorda un regard. Dès qu'elle le vit, Midori ce dit qu'elle avait bien fait de lâcher la balle, puisqu'il était un élève de la même école qu'elle. Dans la même classe en faites... Nakamaru ? Naka... Enfin bref, Naka quelque chose, si elle ce souvenait bien. Bien qu'elle l'ait déjà vu à l'école, elle ne lui avait jamais adressée la parole. Elle ce rappelait juste qu'il était dans l'équipe de Basketball de l'école, si elle en croyait le fait qu'elle le voyait souvent avec eux.

"Nani ? Aaa non, j'ai pas été touché." Dit-elle en lui faisant un sourire, trouvant un peu marrant qu'il ce sente aussi concernée alors qu'elle avait tout fait pour sembler ne pas avoir remarquer la balle.



[Juste au cas... Konichiwa = Bonjour et Nani= Quoi ? xD]

[HJ : Autant te dire que de mon point de vue, ce n'est pas un très bon post =/ ... ]

Il resta un instant sans rien dire, semblant plutôt hésiter entre plusieurs solutions : soit tuer les trois imbéciles qui se faisaient une joie de l’envoyer chercher une balle (bon la sienne m’enfin) en l’accusant mais se remettant vite de son départ… Soit de simplement s’excuser d’avoir dérangé bêtement quelqu’un ou encore, rester planté comme un piquet en essayant de ne pas regarder avec indiscrétion ce qu’elle faisait tout en essayant de mettre un nom sur son visage. Oui, bien il avait honte : la mémoire ça n’avait jamais été son truc, d’autant plus qu’il était à peu près sûr de ne lui avoir jamais parlé… Attendez ! Faisons un effort pour lui. Senjô… c’était sûr qu’il l’avait vu là-bas, même certain. Non, quand même pas dans sa classe ? Reprenons, Hideaki n’aurait alors pas adressé la parole à quelqu’un de sa classe ? Je peux vous dire que ça lui aurait fait quelque chose de s’en rendre compte, lui qui est toujours en train de demander à un voisin « Qu’est-ce qu’a dit le prof ? J’ai pas entendu » ou « Euh… mon stylo a lâché… Pourrais-tu m’en prêter un onegai ? ». Enfin vous voyez le schéma : il trouvait toujours une occasion de parler à un(e) voisin(e). Enfin là n’était pas le soucis… Elle était restée bien silencieuse et si ce n’était pas sa soudaine prise de conscience que la balle l’aurait peut-être blessée, il aurait pu facilement penser quelque chose comme… : « Oh Bouddha ! On lui a fait perdre la voix ? Quand même pas ! ». N’en faites aucun commentaire et soyez indulgent : il venait de jouer et était encore dans un état d’esprit assez joueur et enfantin. Enfin, si bien se disait-il qu’il était normal de demander ce genre de chose mais exagéré que ce soit avec tant d’affectation, elle lui avait déjà répondu.

Hideaki – *Y’ en a un qui va encore vivre alors !*
« Ouf, tant mieux, ce serait embarrassant autrement… »

D’autant plus qu’il ne saurait pas comment se faire excuser, sachant que par-dessus tout ce n’était pas lui la cause de tout ça… La raison pour laquelle il eut la pensée précédente… Oui, le « un » en question était bien son ami. Enfin ami, à ce moment-là c’était juste la personne la plus agaçante du monde ! Comme quoi, ça lui arrivait d’être agacé, bien que ce soit rare.

Hideaki – « Dans l’espoir que ça ne passe pour une façon, démodée d’ailleurs, d’aborder une jeune femme : On ne se serait pas déjà vu ? Hum… à Senjô ne ? Dans ma classe ? Oui ! J’en suis sûr. J’ai honte de te demander ça alors qu’on doit se croiser souvent… »

En disant ça, il passa une main dans son cou en le massant, tout en souriant simplement : oublions la revanche qu’il avait à prendre sur le moment et essayons de paraître aimable Mr Nakamura ! Déjà que les membres de son équipe n’arrangeait pas toujours son image… Enfin ça, c’est ce qu’il leur disait pour les taquiner : tout le monde savait pertinemment qu’ils n’étaient pas méchants et encore moins si immatures que ça, c’est sûrement juste qu’ils adoraient faire les crétins.

Hideaki – « Comme on ne s’est jamais officiellement parlé et présenté : Nakamura Hideaki. Ne m’oblige pas, je t’en prie, à te présenter à mes amis, laisse-les d’abord tourner en bourrique le gardien ! »

Finit-il par dire en riant. Bah, à peu de choses près c’était un scénario tout à fait possible étant déjà arrivé une fois. Le vieux monsieur les avait poursuivit partout, et pendant ce temps Hideaki avait cru bon de faire comme si de rien était et d’aller se balader ailleurs. Enfin là, même cette solution serait gênante : avec tout le monde qu’il y avait. Mais il n’y pensait pas et avait déjà poursuivit ce qu’il disait.

Hideaki – « Et tu es donc ? »

Non, pas de « et sa petite bande de joueur alors ? ». Ce n’était pas le première fois qu’il partait comme ça pour dix bonnes minutes puis, je l’ai dit et il s’en est bien aperçut : ils ont trouvé matière à continuer de jouer alors… Puis selon lui, il fallait remédier à une certaines chose : son impolitesse. Comment avait-il pu lui, à la jeune fille en question, parler comme à une inconnue au début alors qu’ils se voyaient tous les jours. Et oui, c’est qu’il s’en rappelait maintenant à peu près… Pour un peu et il s’infligerait une tape sur le front avec la paume de sa main.

[HS Le tiens ou le mien ? xD]

Midori sentit qu'elle ne pourrait pas bien longtemps retenir le sourire qui voulait passer ses lèvres. Elle ne ce rappelait peut-être pas du nom du garçon face à elle, mais elle ce souvenait bien de lui en classe. Il était du genre à toujours avoir une excuse pour parler et que tout semblait bien aimer. Bien sûr les personnes amicals et souriantes étaient rarement de celles qui restaient seuls dans un coin. Le voyant totalement mal à l'aise, elle pouffa de rire, ne réussissant plus à ce retenir. C'était elle qui habituellement ce sentait mal à l'aise et non pas l'inverse.

« Ouf, tant mieux, ce serait embarrassant autrement… »

Midori ce tourna complètement vers lui, assise en indien et déposa son cahier à dessin à ses côtés.

"C'est bien vrai, mais je crois bien que tu m'aurais vu me tenir l'endroit touché et probablement pester contre tous les ballons du monde, ainsi que leurs lanceurs et non pas rester assise en dessinant." Dit-elle d'une voix amusée, ne pensant plus à rester silencieuse.

De toute façon il n'avait pas remarqué qu'elle tenait la balle, donc elle n'avait aucune raison de jouer l'ignorante qui ne l'a pas remarquer, surtout quand il avait engager la conversation.

« Dans l’espoir que ça ne passe pour une façon, démodée d’ailleurs, d’aborder une jeune femme : On ne se serait pas déjà vu ? Hum… à Senjô ne ? Dans ma classe ? Oui ! J’en suis sûr. J’ai honte de te demander ça alors qu’on doit se croiser souvent… »

La encore Midori laissa court à son rire, sans ce cacher et hocha la tête en signe affirmatif.

"Exact ! Je suis trois banc derrière toi, une rangée plus à gauche. Tu sais, avoir honte à ce stade, je ne crois pas qu'il y a un intérêt à ça. Je crois que quand je reste silencieuse, je suis plutôt du genre invisible" Dit-elle avec un rire.

Elle fronça un peu les sourcils, avant de reprendre la parole.

"De toute façon, je t'avoue que j'ai oublier la moitié de ton nom alors... On est probablement quitte, non ?"

Après qu'il ce soit présenter, elle ce leva et en fit de même, trouvant grossier de rester par terre alors qu'il était debout.

"Fukukawa Midori desu ^^. Tu sais que c'est pas sympa pour le gardien ? Le pauvre homme... Il n'est plus tout jeune !" Dit-elle avec un air faussement triste et réprobateur.

Prenant son cahier qui était resté par terre, elle lui fit un signe de tête vers les bancs à disposition un peu plus loin et s'avança dans leurs directions.

"Alors, Nakamura-kun, tu étais venu au parc pour quoi ? Jouer au basket ?... Pourtant il n'y a pas de terrain, si j'me souviens bien." Dit-elle en fronçant les sourcils, légèrement confuse.

Elle prit alors place sur le banc, déposant son livre de dessin sur ses genoux et tourna son regard vers l'adolescent face à elle.

[HJ : XD Le mien, je parlais du mien !]

Ne l'avait-il pas déranger avec ses grandes mains et celles de ses amis ? Oui, ces grandes mains qui lançaient le ballon pour en rencontrer d'autres. A se demander son ami, peu fiable faut-il le dire, était vraiment, non, réellement, c'est plus approprié vu la force du mot, un membre de l'équipe de basketball. Ah... Comment pouvait-on faire les idiots à ce point : oui, Hideaki était un peu irrité. Toujours pour la même raison : on l'envoi faire le travail d'un autre pour mieux s'amuser sans même l'attendre ! Ingrats ! Mais comme à son habitude, il oublierait dès le moment passé. Au moins, il semblait la faire sourire : n'était-ce pas déjà ça ?

La réponse qu'elle lui donna lui arracha un rire. Oui, pour le coup, il n'était pas très logique mais sait-on jamais : il existe sur cette planète des gens qui n'aiment pas déranger. Si bien que quand on les dérange d'ailleurs, elle sente encore qu'elles peuvent déranger en disant que cela à occasionner une gêne. C'est peut-être tordu présenté de cette façon mais cela était bien réel pour quelques cas. Ce genre de personnes, on ne peut qu'éprouver de la sympathie pour elle et dans le cas d'Hideaki, on ne pouvait que s'assurer qu'elles aillent bien. Mais ça, il faut le dire : il le faisait avec et pour tout le monde. Quoique, encore plus avec son cousin, l'unique qu'il supporte et apprécie.

Hideaki – « Oui, effectivement ! Mais on ne sait jamais, il y a ces gens qui n'osent rien dire : j'ai pas envie de passer à côté de quelque chose qui ne va pas ! »

Sincère, calme et direct. Les mots étaient sortis ainsi cette fois ! Comme à son habitude, il ne faisait que dire ce qu'il pensait. Enfin comme à son habitude et ce qu'il pensait : il y avait des contextes. Parce que dire à quelqu'un qu'il l'énnerve, il l'a déjà fait mais Hideaki se voit mal être aussi brut et peu élégant avec des jeunes filles/femmes. Tout simplement parce qu'elles étaient moins lourdes à quelques exceptions près que les garçons, regardez sa petite bande ! Puis aussi, il avait souvent été témoin de leur sensibilité pour certaines. En tout cas, celle qu'il pensait comme une potentielle blessée riait bel et bien et en rien ce qu'il avait dit ne prenait la mauvaise direction. Cela faisait effet contraire à sa tendre balle, n'est-ce pas ? Il sourit en baissant la tête, semblant regarder l'herbe à ses pieds alors que ce n'était qu'une mimique d'amusement. Quelle précision ! C'était comique : personnage intéressant semblait-il. Et elle se disait invisible !? Bah, c'est surtout parce que son champ de vue était très souvent occupé par la bande ou que son regard n'avait d'yeux que pour la ravissante fenêtre : vue sur le terrain de basket. S'il n'était pas addict, c'est qu'il était un cas désespéré alors ! D'ailleurs il venait de reprendre son ballon…

Hideaki – « Quelle précision ? Je finirai par croire que tu es du genre "stalker" ! Je blague. Et sinon, il faut admettre qu'en classe, quand je ne suis pas en train de demander quelque chose : je n'ai d'attention que pour la fenêtre donc je ne suis pas une référence ! »

Il fit un sourire en coin quand elle lui avoua avoir oublier un peu son nom : il n'avait pas fait dans le simple, fallait l'avouer. Mais ça, allez vous plaindre à ses parents ! Fukukawa Midori ne ? Alors c'était bel et bien cela. Il avait effectivement entendu le nom quelques fois, notamment durant l'appel ou à diverses occasions sans pouvoir y mettre un visage : c'était fait. Oh ! Oui, l'histoire du gardien. Oui, c'était bien vrai il n'était plus tout jeune mais vous allez le voir, Hideaki ne pensait pas avoir à se faire du soucis pour lui :

Hideaki – « Oui Mademoiselle mais pour notre défense, sachez que la honte frappe souvent mes amis basketeurs : il arrive toujours à les attrapper ! Je pense qu'il a encore de beaux jours devant lui avec cette forme. »

Oui, c'était vrai aussi. Bien-sûr, il n'était pas censé le dire : des joueurs de basket, ridiculisés par un gardien de parc, du troisième âge qui plus est. Oui, l'honneur avait de quoi fuir à toutes jambes ! Le joueur de basket ôta de sa voix, son ton d'écolier disputé et regagna son sérieux après avoir laissé échappé encore un rire : c'est qu'elle était de compagnie plus agréable que… Non, ne faisons pas la comparaison finalement !

Lui indiquant les bancs plus loin, Hide hocha la tête sans rien dire et s'y dirigea en même temps qu'elle. Elle ré-engageait déjà la conversation alors qu'ils arrivaient tranquillement à destination : ce qu'il faisait là. Oui, on aurait plus de chance de le voir à Senjô sur le fameux terrain qu'il admire en cours si la fenêtre pointe l'endroit. Et bien c'était que ce terrain était magique que quand il était coincé, si on peut dire, à Senjô. Sinon, les espaces comme ce parc, n'était-ce pas mieux ?

Hideaki – « Hm. Et bien, j'aime prendre l'air un peu pour changer. Rester au bahut c'est sympa mais les parcs ça manque parfois. Puis, sinon je n'aurai pas eu l'occasion de m'échapper d'eux, ni de savoir enfin le nom de ma camarade. »

Le nippon la regarda à cet instant et lui fit un sourire. Oui, c'est sûr et certain, à Senjô il serait encore avec eux là. Finalement ce n'était pas plus mal : ça le changeait non ?

Hideaki – « Et que fait une jeune fille toute seule en dehors de son école ? C'est imprudent, si tu me le permets ! »

Un faux air de grand-frère protecteur et un rire qui ne fit aucun son. C'était peut-être un peu familier comme façon de parler et d'animer une conversation mais il suffisait que les premiers mots soient prononçés avec quelqu'un pour qu'il se dégivre le Nakamura. Puis, elle ne devrait pas rester seule, surtout qu'on doit s'amuser un peu : n'était-ce pas mieux à plusieurs ? Mais tout le monde ne pensait pas comme lui non plus.

[HS J'commence a me demander si j'aurais du regarder Atashinchi no Danshi, maintenant j'éclate de rire dès que j'vois Yamamoto XD Cette fois c'est mon post qui est pas super ><]

La jeune Fukukawa Midori ce sentait des plus amusé, face à cet adolescent qui semblait avoir un humour un peu comme la sienne. Visiblement il commençait à ce sentir plus à l'aise puisqu'il prenait des tons un peu plus familier.

« Quelle précision ? Je finirai par croire que tu es du genre "stalker" ! Je blague. Et sinon, il faut admettre qu'en classe, quand je ne suis pas en train de demander quelque chose : je n'ai d'attention que pour la fenêtre donc je ne suis pas une référence ! »

Éclatant de rire, Midori lui fit un signe négatif de la main, n'arrivant pas encore a parler, tellement elle riait.

"Je n'ai vraiment pas besoin d'être un stalker, mais disons que tu n'es pas un des plus silencieux de la classe, donc c'est très facile avoir notre attention détourné parce qu'on entend une dispute amical." Dit-elle en roulant les yeux, continuant à bien ce marrer.

Midori était quelqu'un qui pouvait s'amuser facilement d'un rien et donc il n'était pas rare de la voir ce marrer sans raison, mais cette fois ci elle pouvait bien dire que c'était avec beaucoup de raison, puisqu'elle était en train de s'imaginer la course poursuite entre les membres de l'équipe de basket et le vieu gardien, très gentil avec ceux qui le mérite, mais grognons avec ceux qu'il qualifiait de délinquant. Il fallait avouer que dans la tête plutôt vieu jeu de l'homme, la plupart des adolescents étaient des délinquants et donc il était gentil qu'avec quelques rare personne, autre que d'autre personne âgés.

"C'est à ce demander s'il n'est pas déjà aller participer aux olympiques. J'veux dire, habituellement les membres de l'équipe de basket sont du genre rapide..."

Elle jeta un regard de côté à Hideaki et eue un sourire moqueur.

"Peut-être que ceux ci ne sont que des vantards et sont plutôt nul..."

Bien sur, elle avait dit ça en plaisantant et le ton employer le montrait facilement, mais malgré tout Midori ce préparait mentalement à avoir un coup sur la tête, comme ses anciens amis le faisait. À force, elle était devenue douée pour les éviter ces fameux coups.

"J'adore les parcs ^^ Habituellement on y retrouve rarement d'autre personne de Senjô, mais on voit aussi des trucs qu'on a pas la chance de voir à l'école." Dit-elle en s'étirant longuement, entendant des os des épaules et du dos craqués.

Heureusement d'ailleurs qu'elle retrouvait des choses différente de Senjô dans ce parc, parce que bon il fallait l'avouer, la tension était souvent "UP" avec toutes les relations bizarres entre les élèves... Soit ils ce détestaient, soit ils s'en fichaient, soit ils voulaient tenter de ce trouver un(e) amoureux(se) et Midori ne savait pas si elle pourrait endurée longtemps, surtout voyant que maintenant même les personnes du même sexe et anciennement amis devenait ennemi. C'était pratiquement pire qu'une guerre et Midori laissait de plus en plus tomber ses amies pour être seule.

« Et que fait une jeune fille toute seule en dehors de son école ? C'est imprudent, si tu me le permets ! »

Midori lui fit un sourire un peu fatiguée, puisqu'il demandait un truc qui avait totalement rapport avec le file de ses pensés.

"J'aime pas trop l'ambiance de l'école, donc je me trouve des activités à faire hors territoire de guerre. J'ai deux amies qui sont amies pratiquement depuis leurs naissances, mais depuis le rassemblement des deux écoles... Une déteste l'idée d'être avec des mecs et l'autre semble plus être dans son adolescence à ce dire qu'il vaudrait mieux faire ami-ami avec eux pour ce trouver un petit copain... Si tu voyais le résultat que ça à donner avec les personnes qui était avec moi au lycée de fille... Chacun dans un camp et les quelques unes qui n'ont pas choisit de camp réussissent à être pratiquement détestés des deux groupes..."

L'adolescente soupira en secouant la tête, ne comprenant vraiment pas pourquoi il y avait autant de problème face à cette fusion, c'était vraiment désolant à voir.