Alya Ji Hoo [ Finissh 8DDD ]

Chaque personne a son propre caractère et, comme tout le monde, Alya a le sien et il ne changera sûrement pas, même pour les beaux yeux de quelqu’un.

La jeune mannequin est tout d’abord une manipulatrice, lorsque l’envie lui prend, elle manipule n’importe qui, même des êtres qui lui sont chers. Pour ne pas vous mentir, Alya n’a pas vraiment de mal pour manipuler quelqu’un, tant de gens pourraient croire qu’elle n’oserait jamais faire un coup pareil, mais pourtant, sans même que ceux-ci s’en rendent compte, ils sont manipulés par notre belle coréenne, à tout moments de la journée, ou même de la nuit. Non seulement elle est manipulatrice, mais la jeune Hoo est une jalouse de première qualité, elle n’aime pas lorsqu’une personne approche trop près d’un être qui lui est cher, à ce moment-là, elle peut être capable de tout, des pires coups que vous pouvez vous imaginer. Quelque peu redoutable dans son genre, elle ne se laisse pas faire, qui quonc tente quelque chose contre elle peut se dire qu’il vaut mieux ne plus la croiser quelque part, ou même ne plus voir les fréquentations de la demoiselle. Rares sont les personnes à avoir vu le réel caractère, lorsqu’elle s’énerve, d’Alya Ji, et rares resteront-elles sans aucun doute possible. Protectrice, nous ne pouvons pas dire le contraire. Mieux vaut ne pas toucher, faire du mal ou bien d’autres choses encore à ses proches car si c’est le cas, elle n’hésite pas à retrousser les manches et à montrer de quel point elle se chauffe. Si l’un jour l’une des personnes à laquelle elle tient ne se prenait ne serait-ce qu’une seule tape et que la jeune femme soit au courant, elle n’hésiterait pas, en aucun cas, et irait directement voir la personne en question, que ce soit gentiment ou méchamment, elle ne distingue pas vraiment ces deux choses. Néanmoins, bien qu’elle puisse être sympathique, Alya peut aussi être des plus emmerdantes lorsqu’elle le souhaite, et lorsqu’elle l’est, rien ne peut l’arrêter, ou bien seulement avec un grand mal, ce qui ne donne pas toujours un super résultat, comme vous pouvez le penser. C’est bien à cause de ce côté-ci que la jeune femme n’a pas réellement collectionné de garçons, comme l’auraient fait certaines si elles auraient pu avoir le physique d’Alya, mais cela n’est pas tellement grave pour elle, étant donné qu’elle n’est pas des plus intéressés de ce côté-ci, il faut l’avouer.

Hyperactive de haut niveau, la jeune asiatique a un réelle besoin de bouger, trop souvent selon son entourage, ce qui, parfois, peu donner une mauvaise impression auprès des autres mais qui, étrangement, ne l’a dérange pas plus qu’autre chose. Joueuse et gamine, et pas qu’un peu lorsqu’elle commence, elle ne s’arrête plus. Il arrive à notre belle asiatique de se conduire telle une gosse de sept ans, histoire de s’amuser un peu, et c’est bien à ce moment-là que l’on peut reconnaître très facilement, et distinctement, son côté joueur, celui qui aime provoquer les autres, très souvent d’ailleurs, rien que pour des défis quelque peu débiles. Nus pouvons aussi remarquer son côté baka, qu’elle montre de temps en temps, selon les personnes avec qui elle se trouve à ce moment-là, même si, quelques fois, celui-ci n’en fait qu’à sa tête (car oui, chaque petits bouts de caractère de la jeune femme a une tête, ou bien plutôt un petit, voir minuscule, bout de son cerveau qui arrive tout de même à contrôler le reste, de temps à autres) et cela peut paraître quelque peu étrange auprès des autres, surtout lorsqu’elle ne connait pas la personne et que celle-ci la connait à cause de son caractère.

Bizarrement, depuis toute petite (ou presque), la jeune femme a développé une adoration pour la danse et le mannequinat, deux choses qu’elle pratique et qu’elle aime réellement, peut-être ce qu’elle aime le plus au monde. Elle aime aussi la photographie, ce n’est pas pour rien qu’elle prend souvent des photos des gens, ou des paysages qui l’entourent, bien entendue, elle ne diffuse rien sur le net ou autres conneries de ce genre sans leur autorisation. Elle possède tout de même un site internet, qu’elle a fait à cause, ou plutôt grâce, à ses passions, pour pouvoir exposer ce qu’elle fait. Elle peut être traitée de no life, étant donné que nous ne la voyons à l’extérieur que rarement, enfin, surtout si elle est seul.

Une vie, une histoire. Alya en a comme tout le monde, comme toutes les personnes qui vous entourent sur cette terre. Nul ne vie sans passé, sans présent et sans futur. Une histoire ordinaire ou bien spéciale, selon les gens. La coréenne ayant un mélange des deux, je vais vous la raconter, depuis le début, en sauter quelques moments, pour ne pas faire long, un résumé, plus ou moins long, vous suffira donc. Ne vous fiez pas au mot résumé, bien entendu.

Un jour, tout à fait normal pour certains ou exceptionnel pour d’autres, une enfant vit le jour, ainsi que d’autres coréens encore, un cinq août. Cette enfant fût prénommée Alya Ji, plutôt bizarre diront certains mais quelque peu origine, enfin, selon ses parents. L’accouchement avait été quelque peu difficilement, mais rien de bien grave, sa mère n’avait pas regretté tous ces efforts qui, à ce qu’elle disait, avaient été récompensés. Un an après la naissance de la jeune coréenne, Mi Hyeong, sa mère, mit au monde un deuxième enfant, un garçon cette fois-ci, Jae Su.

Une enfance agréable pour l’un et désagréable pour l’autre. Que pensez-vous ? Que l’enfance avait été la meilleure pour Alya ? Non, bien au contraire, c’est pour son frère qu’elle l’a été, et ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’elle ne l’a jamais aimé, ou bien même aidé lors des moments difficile, lorsque leur mère est morte, Alya ne lui a jamais parlé. Pas un regard, pas un sourire. Si seulement lorsqu’il se faisait taper, elle était là pour lui… Mais non, à ces moments-là, elle disparaissait et donnait l’impression de n’avoir jamais vécut, pas une seconde. Pour ne pas mentir, elle ne souriait que rarement, que ce soit à ses parents comme à ses amis, qui, eux, se faisaient plutôt rare pour dire la vérité. Elle n’a jamais vraiment cru à sa famille, enfin, elle n’était rien qu’une personne quelconque pour eux, rien de plus, comme si elle n’était pas leur fille, ne l’avaient-ils pas voulut ? N’était-elle pas l’enfant dont ils disaient être fiers ? Peut-être par sa non-présence, peut-être parce qu’ils ne la connaissaient pas, même si elle était belle et bien leur fille, leur enfant aîné. Enfin, une chose était sûre, elle n’était pas aimé et ne les aimait pas non plus. De ce côté-ci, certains la prenaient pour une gamine, encore maintenant, alors que d’autres qui, contrairement à la majorité des personnes, la comprenaient et trouvaient cela tout à fait normal. Pourtant, bizarrement, elle était bien contente de ne pas être l’aimée des deux, mais d’un autre côté, elle n’aimait pas cela, ne pouvant faire comme les autres, leurs prouver qu’elle était importante pour sa famille. Etonnement, elle a songé plusieurs fois à faire un meurtre, à déménager, à fuguer loin d’eux. Mais elle fit courir le bruit que son père la battait et pour le montrer, demandait à des jeunes beaucoup plus âgés qu’elle de lui donner des coups, des coups qui laissent des traces, des cicatrices et d’autres choses dans le genre encore. Pour Alya, sa vie n’était que malheur, elle était tombée dans la mauvaise famille, dans la mauvaise vie. Quoi de plus effrayant qu’une belle demoiselle comme elle en détresse ? Souvent les gens lui faisaient des réflexions, sur ses manières, sur sa façon de faire les choses et de traiter les autres, lui faisant même comprendre que les personnes qui l’entouraient n’étaient pas tous comme ses parents de qui elle était mal aimée.

Sa vie, elle ne l’aimait pas. Le paysage, elle ne l’aimait pas. Le pays, elle ne l’aimait pas. Les gens, elle ne les aimait pas. La personne qu’elle était, elle ne l’aimait pas. Alya Ji n’a jamais rien n’aimé, rien dans ce monde, jusqu’à ses seize ans, quelques temps après son arrivée dans une famille, une autre que la sienne, une famille d’accueil, une famille qui lui avait donné tout son amour et qui l’avait aidé dans chaque moments, qu’ils soient simples ou dur, dans toutes épreuves. C’est à partir de ce jour qu’elle aima les gens, la planète, ce nouveau pays, sa nouvelle vie qu’elle avait décidée de reprendre à zéro, malgré ses seize années de malheur. Au fil du temps, elle apprit à s’attacher à des personnes, à des lieux et d’autres choses dans le genre encore. Mais son caractère, elle le garda plus ou moins, ne changeant qu’un peu, il fallait tout de même rester une petite part de ce qu’elle était au par-avant, et puis, elle ne pouvait rien faire de ce côté-ci, rien comme elle avait fait des autres côtés. Défendre les autres, les personnes auxquelles elle s’attache au fil du temps, elle le fait régulièrement et, pour ne pas mentir, n’a pas peur de se salir les mains pour faire respecter une personne qui lui est chère ou bien même se faire respecter des autres. Néanmoins, une chose est sûre, son passé, elle ne le révèlera à personne, même si la jeune mannequin y repense de temps à autres, rien ne l’a fera changer d’avis. Etre dans une famille japonaise l’a quelque peu changé, les traditions sont bien différentes de celles des familles coréennes. Sa soi-disant famille, elle ne l’a considérait pas comme telle, ils étaient plutôt des inconnues à son égard, rien de plus, des personnes qu’elle ne pouvait aimer sans connaitre, et qu’elle n’a jamais apprit à connaitre, même si elle logeait sous leur toit. Une vie comme elle a eu n’est pas une vie, ou bien plutôt un passé comme elle a vécut. C’est une chose qu’elle ne souhaite qu’aux pires d’entre nous, à ceux qui ne méritent pas d’avoir un cœur.

Sa famille n'est pas des plus pauvres, bien au contraire. Son père, lui, est chef d'une banque nationale et sa mère est avocate, d'où SDF (Sans Difficultés Financières :P). A peaine arrivée sur le territoire japonais, la jeune coréenne fut déjà prise comme mannequin pour de grandes marques, et d'autres choses dans le genre, en bref, elle gagne bien sa vie, à peine est-elle au lycée. La jeune femme est à Senjô Gakuen. La jeune femme est rentré dans cet établissement grâce à tout l'argent que possède sa famille, bien que son niveau d'études ne soit pas des plus hauts, et qu'elle soit en 2.C, l'école ne l'intéresse pas vraiment pour ne pas vous mentir. Elle ne s’est attachée qu’à une seule personne depuis son arrivée là-bas. Cette personne n’est autre qu’Iku Kono, jeune japonaise bien trop timide pour ne pas se laisser faire. Pourquoi s’est-elle attachée à celle-ci ? Sans doute car elle ne se défend pas et que, à cause de cela, elle a décidé de défendre Iku, même si son petit ami le fait, Alya ne laissera jamais quelqu’un la toucher. Mais l’une des questions que se pose la jeune Hoo –qui a gardé son nom d’origine-, est la suivante : va-t-elle avoir une vie meilleure après deux ans ? Va-t-elle avoir plus de personnes sur qui compter ? Le tout reste à venir…